Les partenaires non étatiques de l’Iran au Moyen-Orient : des proxys, vraiment ?

Les partenaires non étatiques de l’Iran au Moyen-Orient : des proxys, vraiment ?

Le Hezbollah libanais, les Houthis yéménites, des factions armées chiites irakiennes ou même, plus singulièrement, le Hamas et le Jihad islamique palestiniens sont souvent présentés comme des proxys iraniens au Moyen-Orient.
L’idée sous-jacente est que la clé pour influer sur les actions de ces groupes serait d’exercer une pression maximale sur Téhéran.
Seulement, si le soutien matériel iranien à ces organisations non étatiques est avéré, cela n’implique, par nature, ni un alignement idéologique total ni un lien de subordination évident. Parler en termes généraux masque une réalité vraisemblablement diverse en matière de contrôle effectif de l’Iran sur la direction des opérations des entités considérées.
Cette note d’analyse met ainsi en lumière les limites d’une compréhension de la relation entre Téhéran et les mouvements armés qui lui sont affiliés via le seul prisme de la notion de proxys.

Télécharger la note d’analyse : IHEDN NOTE-ANALYSE_AVRIL_2024 – v4-4

Laisser un commentaire

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.